Eat'n Waf

Articles avec le tag ‘Marshmallow’

Gose, Oyster Stout, NEIPA, Nelson Sauvin, Nitro. Si ces termes ne vous disent rien, cette nouvelle rubrique dédiée à la bière est faite pour vous. Aussi étrange que cela puisse sembler, la bière est une boisson assez méconnue et surtout elle cumule plus que tout les idées reçues tout en ayant une réputation de boisson de seconde zone, basique et peu raffinée. Blonde, brune, rousse ne sont pas des types de bières. La bière ce n'est pas forcément amer. Non, la bière ne se limite pas à Heineken, 1664 ou Leffe, qui sont presque l'équivalent de ce qu'est la Villageoise pour le vin. La bière est un monde d'une infinie richesse, avec plus d'une cinquantaine de types bien distincts, sans compter les variations.
Il existe des bières acides, des bières salées, des bières vieillies en fût de chêne, des bières au lactose ... Différentes céréales, différentes techniques, de nombreux houblons avec chacun leur propre palette aromatique, sans compter toute l’inventivité dont font preuve les brasseurs indépendants depuis une dizaine d'année, qui ne s'interdisent plus aucun ingrédient : concombre, basilic, carotte, piment, rhubarbe, homard, champignon, ... Ce nouveau format, nommé Hop'n Waf (hop = houblon en anglais) s'attachera à présenter 3 à 6 bières, mais pas n'importe lesquelles, uniquement des bières avec un goût original, un ingrédient insolite, une histoire ou une étiquette amusante. Cette introduction étant déjà beaucoup trop longue, nous aborderons donc les différents critères de dégustation (goût, odeur, robe, ... ) dans un prochain numéro.
 
 

Wild Lab #Sour #pêcheromarin

ABV : 6.5%

IBU : NA

Style : Sour ale

Brasseur : La Débauche

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Brassée avec du romarin et de la pêche

 
On commence ce nouveau format avec une bière française de la brasserie La Débauche (Angoulême) : la #sour #pecheromarin. Cette bière fait partie du projet Wild Lab, une série de bières expérimentales sur le thème des fermentations atypiques, Wild indiquant à priori la nature "sauvage" de la levure. Comme son nom l'indique, la #sour #pecheromarin est une bière acide à la pêche et au romarin, un mélange pour le moins insolite. Sa robe entre ambrée et orange, légèrement trouble, cache une bière très pêche, tant au nez qu'au goût. En bouche, la pêche prédomine, avec des côtés rappelant le Ice tea pêche et le yaourt. Des notes de romarin, assez subtiles, viennent un peu casser ce fruité en fin. L'acidité et l'amertume sont toutes deux légères.
   Trouvable chez Saveur-Biere, 4€10 la bouteille de 33cl.
 

La Débauche - Wild Lab #Sour #pêcheromarin

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Candysan, grand pourvoyeur de snacks japonais, a lancé il y a quelques mois sa propre box. Pour 23€48 vous pouvez recevoir chaque mois une sélection de snacks, friandises et gashapons nippons. La box de juillet est la première à proposer une exclusivité Candysan. De petits aliens bleus salés goût yakiniku (viande grillée) emballés dans un chouette sachet orné d'une waifu kawaï. Ces E.T asiatiques sentent bons et proposent un agréable goût épices et viande, mais sont aussi trop secs. Mais ce léger désagrément s'efface face au fait qu'ils colorent la langue en bleu.

Schtroumpfs nippons

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On nous le dit, il fait chaud, il faut s'hydrater alors voici une édition de Wapharnaüm presque intégralement liquide. Comment ça la sauce piquante ça ne se boit pas ?

Une petite bière fraiche pour commencer : la Rhub'IPA, bière née de l'association entre la brasserie St Germain (Page 24) et la norvégienne Nogne Ø. Cette IPA à 6,9% associe 5 houblons océaniens (Australie et Nouvelle-Zélande) à du jus de rhubarbe pour un résultat fruité, doux mais acide. Un mariage de saveur d'agrumes, de fruits exotiques, de miel et bien sûr de rhubarbe qui s'impose en fin, apportant son goût acide si particulier. Trouvable chez Saveur Bière, 2€80 la bouteille de 33cL.

On reprend notre leçon à la page 24

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Mieux que 50 Shades of Grey, 50 Shades of Bacon. Un livre pour se vautrer dans la dépravation et le bacon. 60 pages de recettes aussi improbables que le beurre de cacahuètes au bacon ou le milkshake chocolat bacon. Si l'idée est amusante et la couverture sympa, le contenu est lui loin d'être satisfaisant, peu d'illustrations et beaucoup de recettes ne font que 3 lignes. Il faudrait être maso ...

50 Shades of Bacon

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Nouveauté : après les Chamallows qui Pik goûts Tagada et cola, Haribo lance les Chamallows Brazil aux couleurs du Brésil, fruités et enrobés de poudre acidulée. Chacune des trois couleurs du drapeau se voit associée à un parfum : jaune saveur ananas,  blanc à la pêche, moui à la limite, et vert à la ... cerise. Très logique tout cela. Avec jaune blanc rouge ils pouvaient faire le drapeau de l’Ossétie du Sud, bien plus vendeur surtout après un 7-1 et puis c'est un peu tard pour surfer sur la vague Coupe du Monde. Au moins ces Brazil ont un bon goût fruité et un sucre acidulé qui rompent avec la monotonie d'une bête guimauve. Environ 3€10 le paquet de 500g en GMS.

Haha 7 à 1

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Nouveauté : les Chamallows Haribo Pik (environ 2€ le paquet de 500g), des chamallow recouverts d'une poudre pétillante et acidulée. Existe en version Tagada pink et en parfum cola. Le résultat est vraiment très sympathique, moins plat et moins écœurant à la longue que les chamallow normaux.

Tagada, tagada voilà les Daltons, enfin les Chamaloows

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Aujourd'hui, je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, le farfadet en ce temps-là accrochait ses céréales jusque dans nos assiettes. La bohème, la bohème, nous ne mangions qu'un jour sur deux, oui, mais nous mangions des Lucky Charms ! Et puisque visiblement je ne ferai pas carrière dans la chanson, je vais prendre le temps de vous parler de ce produit qui a disparu de nos étales en France, mais qui existe toujours aux États-Unis pour notre plus grand plaisir.

Je suis le farfadeeet

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If there's something strange, in your neighborhood. Who ya gonna call? GHOSTBUSTERS !

On a tous été marqués dans notre jeunesse par certains films, musiques, ... Pour moi c'est entre autres GhostBusters. On n'imagine pas le nombre d'enfants qui ont du être traumatisés par ce film, en particulier par la fin. Le grand méchant, Gozer, se matérialise sous la forme d'un bibendum en marshmallow (la faute à Stantz...). Le film finit sous une épaisse couche de marshmallow fondu. Depuis ce temps, je ne regarde plus le marshmallow de la même façon. Le test du jour est celui d'une pâte de marshmallow (à la fraise) à tartiner, de la marque Fluff, étrangement similaire à la substance de la fin du film.

Comme on peut s'en douter, ce produit nous vient des USA. J'ose aborder la chose sans pack à proton. Si je ne survis pas, je veux qu'on élève une statue à ma gloire.

Pot de résidu de Gozer le gozerien

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