Eat'n Waf

Archives d’un auteur

Avec cette tasse, prendre le thé n'aura jamais été aussi classe. Attention, il n'est pas nécessaire de porter des bottes en cuir en même temps.

Chapeau melon sans bottes en cuir

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Bonne Maman est une gentille grand-mère qui ensoleille nos petits déjeuners. Elle colle un peu mais sa douceur toute sucrée agrémente nos tartines. Les grand-mères sont souvent comme ça, bienveillante et amicale, mais pas mamies Karimix et Garlic Farm qui sont plutôt du genre punk avec des chaînes, armées d'un pied de biche et qui passent en vous faisant un doigt d'honneur. Il ne faut pas les faire chier, leur truc c'est l'ail, le poivron et le piment. Des tartines vivifiantes pour donner un coup de fouet le matin. C'est une métaphore mémé, range ce fouet !

Pour des petits dej musclés

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"Pour le burger est pour le pire" est notre recette pour le concours de burgers de mariage organisé par MyBurger. Un thème ardu mais qui nous a donné l'occasion de nous éclater en cuisine avec un burger "pièce-montée" où chaque étage correspond à une étape du repas : entrée, plat principal, dessert. Au programme, du bon pain maison, des ingrédients raffinés, un burger foie gras confit d'oignon sur lit de mesclun, un combo magret de canard sauce au cèpe accompagné de jeunes pousses d'épinard, de conté et de pétales de rose, et pour finir un Paris-Brest.

Direction MyBurger pour découvrir la chronique de cette belle réussite.

Pour le burger et pour le pire

Les japonais ont le don pour composer des petites musiques crétines. Le genre d’infâme petit air horripilant qui reste bien dans la tête et dont la seule solution pour s'en défaire semble être une lobotomie trans-orbitale salvatrice. Les sourds auraient bien tort de se croire à l’abri, ces mélodies crispantes s'accompagnent souvent de vidéos pas moins démoniaques dont le premier visionnage s'accompagne généralement d'un gros "WTF  !". Les deux ensembles ont un effet insidieux, plongeant l'esprit dans un état d'hypnose qui fait rester devant ces horreurs contre toute logique. Un peu comme si le cerveau avait grillé ou s'était fait seppuku, nous laissant là, hagard, un filet de bave à la lèvre à regarder et écouter en boucle ces armes de destruction massive de neurones. Et le pire dans tout ça, c'est que les japonais ont mis ce super-pouvoir au service de la publicité. Rien que pour ça il faudrait les envahir.

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L'année dernière nous nous étions enthousiasmé pour Maître Jacques, "le boucher des belles occasions", qui proposait une gamme de gibiers exotiques pour les fêtes. Ce n'est pas tous les jours qu'on peut goûter des viandes telles que le lama, le wapiti, le dromadaire, l'antilope, le zèbre ou encore le kangourou. Seuls les deux derniers avaient fini dans nos assiettes (par ici pour le test), les autres courraient trop vite pour nous et étaient trop malins pour se laisser avoir par nos collets. Cette année Maître Jacques ajoute à sa gamme le crocodile, une viande avec laquelle j'ai une revanche personnelle à prendre. La dernière fois que ma route a croisé celle de ce prédateur, c'était à Cuba et en dépit de tous mes efforts je n'avais pas réussi à en goûter. Le seul restaurant de Varadero a en proposer à sa carte (le Guamairé, proposant steak de crocodile et crocodile épicé aux ananas) était fermé et ceux de la ferme des crocodiles de Guama étaient trop vivaces pour se laisser croquer. Malheureusement impossible de trouver ces pavés. Ce n'est pas encore cette fois-ci que je pourrai en goûter. En guise de consolation et pour ne pas rentrer bredouille de la chasse, voici le dromadaire qui nous avait échappé l'année dernière.

Le dromadaire a une bosse, comme Quasimodo

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La fin d'année est une période faste pour les aventuriers du goût puisque de nombreux produits aux mariages audacieux déboulent en magasins. Festif, de fête, édition limitée fêtes, de Noël, ... les appellations ne manquent pas. Cette année nos errances nous ont conduites dans une enseigne de nos voisins anglais, un peuple bien connu pour son raffinement et sa sophistication, enfin si on on oublie leur nourriture. Un rapide mais onéreux passage chez Marks&Spencer a permis de dégoter diverses douceurs de saison : les popcorns "festifs" au caramel et baies dont nous allons parler ici, des Christmas Puddings bien digestes, ... Un bon échauffement pré-Nöel, si on y survit.

Où est la sauce à la menthe ?

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Bientôt Noël, pour l’occasion nous vous avons préparé une plongée dans l'enfer des marchés de Noël allemands. Des endroits avec une telle concentration de stands de nourriture qu'on prend 2kg en 30 minutes rien que de respirer les vapeurs.

Glühwein !

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Cher papa Noël, cette année j'ai été bien sage, ce n'est pas de ma faute si tout a pris feu d'abord. Pour Noël, je voudrais un train électrique, des Lego pirates et un nouveau piment le plus fort du monde pour passer l'hiver au chaud.

Bisous.

Giraf

Et mes Lego ??

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La Pâtisserie des Rêves de Philippe Conticini revisite les grands classiques de la pâtisserie française avec élégance. La crème au praliné de son Paris-Brest a la particularité d'être fourrée de praliné pur. Vraiment succulent. Une réussite qui a un prix, 5€70 le petit Paris-Brest, disponible aussi en grosse version.

Un packaging luxueux : petit sac en carton, jolie boite, plaque de polystyrène et piques roses pour caler les pâtisseries

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Mon smartphone me l'assure, il est l'heure de manger des KitKat, les célèbres biscuits enrobés de chocolat qui se passent de présentation. Cela tombe bien, Kephy et moi avons reçu une méga-commande de friandises nippones à prix abordable, sauf la location du conteneur de 5 tonnes, et entre les innombrables kits à bonbon, toilettes moussantes et autres sucreries mystérieuses, plusieurs paquets de KitKat. Les KitKat tout le monde en a déjà mangé, mais si le Japon est le pays des sushis et d'étranges perversions sexuelles avec ou sans tentacules, il est aussi celui des KitKat et les japonais ont la chance de pouvoir manger une multitude de parfums et éditions limitées introuvables ailleurs.

Have a break, have a 4.4

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