Archive pour février 2017
Detendez le temps. On prend un coup ?
Les japonais adorent la France, synonyme pour eux de bon goût, d'élégance et de raffinement. La véritable baguette de pain remporte un franc succès à Tokyo, comme d'autres délicatesses typiques français, importées ou non : pâtisseries, eau minérale Evian, moutarde Maille, ou encore camembert Gérard. Les marques, surtout celles de luxe, usent et abusent des mots et expressions de notre belle langue pour un résultat aussi approximatif qu'hilarant appelé Franponais : grande chaine de magasin Comme ça du mode, magasin de chaussures et accessoires Frivole Cocue, menu Barbe et Queue, brasserie Ivrogne, produits de beauté Naive, pâtisserie Maximum Zizi, sucre Petit Pet, Colabo Café, restaurant Bienvenue à Wagon lit (du puis 1980) (image), ou encore Café jouir œuf (image). Leur langue a d'ailleurs emprunté quelques mots à la notre : bourgeois / burujowa (ブルジョワ), mademoiselle / mademoazeru (マデモアゼル) ou encore prêt-à-porter / puretaporute (プレタポルテ). Et notre belle capitale leur a même inspiré le syndrome de Paris ou Pari shōkōgu (パリ症候群), un indispensable souvenir rapporté par beaucoup de touristes. Devant une telle déclaration d'amour, il n'y a donc (presque) rien de surprenant à retrouver le fleuron de notre gastronomie, le vin, mis à l'honneur dans deux éditions limitées de bonbons japonais Puccho.
Cacahuètes de l’enfer
Nous parlons certes beaucoup de produits étrangers, surtout japonais, mais quand une petite société française s'illustre dans un domaine, c'est avec plaisir que nous goûtons et partageons. En attendant le test des barres françaises insecto-protéinées de JIMINI'S, qui ne saurait tarder, voici un court article sur les cacahuètes Hellicious de Sauce-Piquante.fr.