Archive pour septembre 2012
Petits corées de chocolat
Récemment Eleys nous a parlé "d'immondes chocolats" de Corée du sud que son patron lui a rapportés. Connaissant nos goûts en matière d'horreurs culinaires elle nous a proposé de nous en envoyer, et précisant que personne ne lui en voudra s'ils disparaissent subitement du bureau. Moins de deux semaines plus tard, nous avons reçu les fameux chocolats, à quatre parfums différents : algue, piment, saké et châtaigne, accompagnés d'une carte de fantopingouin incarnant la joie de vivre qui nous a bien fait rire.
La mort noire
En allant en Islande, je m'attendais à ce que les habitants, en bon descendants de vikings, ne tournent pas qu'au lait de chèvre et apprécient des boissons plus vigoureuses qui réchauffent le corps et l'esprit. Mais une fois sur place, j'ai pu constater que leurs rapports avec les spiritueux était bien différent.
Butch au pays des kangourous
Vous vous demandez sûrement la raison du récent article sur l'échelle de Scoville, qui n'était ni un test, ni même marrant (on a tous ses moments de faiblesse). Il est paru non sans arrières pensées, car à l'honneur aujourd'hui le deuxième piment le plus fort au monde : le Trinidad Scorpion Butch T (1 463 700 SHU), avec la sauce Scorpion Strike de l'australien Chilli Factory qui titre environ 800 000 SHU.
Si vous vous attendiez à ce que l'on parle du plus fort, rassurez vous, le test du Trinidad Scorpion Moruga (2 009 231 SHU) est déjà dans les tuyaux ; pour compenser un peu, un petit bonus en fin.
Calpis Water
L'an dernier, j'ai eu la chance d'être en stage dans une boîte qui, entre autres, écrit des revues sur des produits. Et donc qui reçoit des échantillons gratuits ! Et oui, un peu comme Eat'n Waf ! (NDLR : On ne reçoit que très rarement des produits gratuits, cependant nos boîtes aux lettres ne demandent qu'à accueillir des échantillons de tête de mouton ou de requin faisandé). D'habitude, il s'agissait plutôt de bouquins et de CDs, de temps en temps des pâtisseries ... Et par un beau jour d'été, ô joie, du Calpis (カルピス, Karupisu) ! Comment, vous n'avez jamais bu de Calpis ? ...
Moi non plus, je l'avoue. Avant de faire ce test, cette célèbre boisson japonaise n'était pour moi qu'une bouteille blanche à pois bleus au contenu blanchâtre, trouble et peu engageant, avec un nom à coucher dehors. Doit-on dire du Calpis ? De la Calpis ? De l'eau de Calpis ? Aucune idée. De toute façon ça sonne mal, si mal qu'il paraît que le nom a été changé en "Calpico" dans certains pays. (ce qui signifie tout de même que Calpis a réussi à s'exporter hors du Japon ...).
Heureusement pour ma culture générale, nous avons donc reçu une boîte pleine de Calpis en canettes : il s'agissait de goûter les nouvelles versions aromatisées aux fruits : ananas, mandarine, mangue... De tous les échantillons que j'ai pu goûter l'an dernier, seuls deux semblent encore disponible en magasin : Calpis Classique et Calpis Raisin.
Boule et Bill-San
Le Japon, pays du soleil levant et des monstres géants, est un lieu formidable où il existe une invention pour chaque grand problème du quotidien comme les toilettes avec musique d’ambiance pour couvrir les bruits, ou encore le pot des jappements pour crier en silence. La nourriture n'est pas en reste avec la résolution de l'un des pires fléaux culinaires : les sachets de sauces qui s'ouvrent mal et qui en foutent partout. Dans le même registre, les ingénieuses friandises du jour permettent de manger de la pâte de haricot rouge sans avoir les mains collantes après. Pratique car on n'a pas toujours à portée de main un mouchoir ou un gamin de la bonne hauteur pour s'essuyer dans sa tignasse juvénile.