C’est en jappant qu’on devient Japonais
Non contente de jouer les reporters sans frontières, Eleys a une nouvelle fois profité de son périple nippon pour nous faire parvenir ses trésors de guerre. Après un voyage de 9732km, dont on suppose qu'il a été fait en barque puisqu'il a fallu au colis environ 3 mois pour arriver à bon port, nous avons eu le plaisir de découvrir non sans émerveillement des produits que seuls les Japonais sont capables d'imaginer.
Au milieu des produits dont les photos n'aident pas à reconnaître le contenu, on trouve du calamar séché, des ballons colorés à percer pour en dévoiler le contenu, ou encore des gâteaux à la fraise qui semblent moulés par des japonais au transit intestinal dérangé. Pour les produits mystérieux, laissez la police faire son travail, dès que nous aurons de plus amples informations, croyez bien que vous en serez les premiers informés...
Pour ne rien gâter, Eleys nous a même offert un cadeau qui, si son intérêt culinaire est limité, a sa place dans le top des produits qui ont la classe.
Sous ces aspects de personnages en yukata se cachent de simples crackers japonais tels qu'on les rencontre dans tout bon mélange apéritif. Cette idée originale méritait d'être mise sous le feu des projecteurs de Eat'n Waf, d'autant plus que les crackers en eux-mêmes sont très bons. Nous tenons donc à remercier Eleys pour avoir pensé à nous et avoir pris le temps de dénicher et expédier toutes ces merveilles que nous ne manquerons pas de tester ici même un jour ou l'autre !
La classe 🙂
J’adore ! C’est super joli !
Ces quelques jours de chasse au trésor sont un très bon souvenir <3
Quelques regrets (pas de langue de boeuf fumée, ni de fraises séchées trempées dans du chocolat blanc sous la main !), mais beaucoup de plaisir de mon côté aussi ("du KitKat vert ! Il faut absolument que je leur envoie ça !") !
… et encore félicitations pour les légendes des photos ^^
[…] y a quelques semaines, nous vous avons brièvement présenté le colis envoyé du Japon par Eleys, notre reporter sans frontière mais pas sans talent. Nous sommes très […]
LE Calamar séché, ça me parle (Carlos inside!)
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